Chaire « Transformations durables et bien-être »
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-Cette chaire fait partie d'une initiative collaborative entre la Vrije Universiteit Brussel (VUB) et l'Université libre de Bruxelles (ULB) sous l'égide du SWIFFT (Sustainable World Initiative & Fellowship for Transformation) (https://www.swifft.be/). La chaire est située au sein des départements VUB-HOST et ULB, en étroite collaboration avec les professeurs Cathy Macharis (VUB) et Wouter Achten (ULB).
Le doctorant mènera des recherches dans le cadre de la pensée pluriverselle pour la durabilité. Il travaillera sur des questions de recherche relevant d'un ou plusieurs des trois axes de la chaire (voir ci-dessous).
La chaire mènera des recherches pionnières qui abordent la dynamique évolutive des pratiques scientifiques dans des contextes écologiques, sociaux et institutionnels. Ce poste est essentiel pour explorer les questions de recherche clés suivantes dans le cadre des axes suivants :
Repenser le savoir : en quoi le savoir nécessaire pour mener à bien une transformation durable diffère-t-il du savoir qui a contribué aux crises systémiques et climatiques actuelles ? La chaire explorera et développera des approches théoriques et pratiques qui examinent les rôles, les structures de pouvoir et l'influence de diverses formes de savoir scientifique dans les transitions vers la durabilité.
Redéfinir la valeur : l'environnement universitaire est très compétitif et axé sur les mesures, qui ne reflètent pas toutes les formes de création et de transfert de connaissances, ni l'impact sociétal ou transformationnel, et qui peuvent exercer une pression sur le bien-être. Comment évaluer un éventail plus large de travaux universitaires ? Comment améliorer le bien-être grâce à de nouvelles façons d'évaluer les travaux universitaires et leur impact ? Comment ces évaluations pourraient-elles modifier les structures sous-jacentes ?
Repenser les universités : comment le rôle des institutions publiques telles que les universités peut-il être redéfini afin de contribuer plus directement aux dynamiques et transformations socio-environnementales ? Et inversement, comment les transformations socio-environnementales émergentes peuvent-elles redéfinir le rôle des institutions publiques telles que les universités ?
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